Hypoxie

Vous entraîner à plus de 3 500 mètres d'altitude, c'est possible à l'ITEPS !

Précurseur du travail en hypoxie en France, retrouvez cette équipement qui nous permet de simuler une altitude dans notre centre afin d’optimiser vos performances.

 

Dans le milieu de l’entraînement sportif, nous cherchons à imposer des contraintes au corps pour que ce dernier s’adapte et surcompense. L’objectif est de développer les qualités physiques telles que la force, l’endurance, la vitesse, la souplesse ou encore la coordination. Le travail en milieu hypoxique entraînant des modifications physiologiques chez le pratiquant, et ce de façon proportionnelle aux conditions d’altitude réelles ou simulées, celui-ci suscite un intérêt grandissant. De cette manière, il est possible d’assimiler ces adaptations physiologiques à l’entraînement dans le but d’accroitre les performances sportives.

 

La cabine présente à l’ITEPS procure une hypoxie normobarique, autrement dit, il s’agit d’une altitude simulée pour laquelle on ne retrouve pas les effets de la pression atmosphérique. En altitude réelle (en montagne par exemple), il n’y a pas de variation du taux d’oxygène, mais c’est une variation de pression atmosphérique qui est ressentie par l’organisme. En altitude simulée, il n’y a pas de variation de pression, on reproduit donc les effets de l’altitude réelle en baissant le taux d’oxygène donné à l’organisme (hypoxie hypobarique).

Mais alors, quels sont les avantages à travailler en hypoxie ?
Nous pouvons en dégager quatre majeurs :

  Des adaptations musculaires telles que l’augmentation du pouvoir tampon musculaire ainsi que l’augmentation de la synthèse des protéines permettent une amélioration du rendement et de l’économie des mouvements.

•  Une amélioration du largage de l’O2 vers la mitochondrie, favorisant la disponibilité de l’O2.

  Des adaptations musculaires telles que l’augmentation du pouvoir tampon musculaire ainsi que l’augmentation de la synthèse des protéines permettent une amélioration du rendement et de l’économie des mouvements.

  Arrivé à un effort physique critique, le niveau de lucidité peut différer. L’hypoxie permet également de travailler sur ce point.